À l’heure où “l’agilité” est devenue un mot d’ordre, Kazem Tabrizi plaide pour redonner une place au long terme.
Non pas comme un frein, mais comme une boussole stratégique qui redonne du sens et de la cohérence aux décisions quotidiennes.
« La prospective n’est pas une tentative naïve de “prédire” l’avenir. Elle consiste plutôt à explorer une diversité de scénarios plausibles »
Cette approche invite les dirigeants à penser la trajectoire avant la performance, à replacer la raison d’être et les engagements au cœur du modèle d’entreprise.
Articuler le court terme et le long terme
Chez Tenzing, le long terme et le court terme ne s’opposent pas, ils se complètent. Le premier fixe le cap, la vision et les engagements. Le second permet d’avancer concrètement, d’expérimenter et d’ajuster les actions.
Cette articulation fonde ce que le cabinet appelle une stratégie robuste :
savoir faire face aux incertitudes du présent sans perdre de vue la direction à suivre.
Une démarche collective et ouverte
La réflexion prospective ne peut pas se limiter à un exercice de direction. Elle doit impliquer l’ensemble de l’écosystème : collaborateurs, clients, partenaires, fournisseurs. Plus les points de vue sont variés, plus les scénarios deviennent réalistes et ancrés dans le quotidien.
C’est tout le travail de Tenzing Prism, la cellule dédiée à la prospective et à la co-construction stratégique, qui accompagne les entreprises dans la définition de leurs futurs possibles à travers des outils collaboratifs et des scénarios sur-mesure.
Retrouver du sens dans la stratégie
Face à un environnement économique volatile, incertain, complexe et ambigu (VUCA), penser le long terme devient un acte stratégique essentiel. Il ne s’agit plus seulement de décider où aller, mais de comprendre comment avancer sans perdre son cap.
Kazem Tabrizi le rappelle : le temps long n’est pas une contrainte, mais une manière d’ancrer la transformation dans la durée et de maintenir la cohérence entre les ambitions d’aujourd’hui et celles de demain.