La tribune l’Assurance vient de publier un article qui rappelle l’importance du dividende sociétal dans la stratégie de répartition de la valeur de Crédit Mutuel Alliance Fédérale à l’occasion de la sortie du plan stratégique du groupe.
Pour le moment, seules quelques entreprises capitalistes pionnières comme Tenzing et des groupes mutualistes comme la MAIF ou Crédit Mutuel Alliance Fédérale se sont saisis de ce nouvel outil de partage de la valeur et l’ont formalisé.
Pour rappel, le dividende social, sociétal ou écologique consiste à affecter une partie des bénéfices de l’entreprise au financement de causes d’intérêt général cohérentes avec sa raison d’être.
Pour une société à mission, le dividende sociétal permet d’augmenter l’effet de levier et l’impact de sa mission.
Nous mettons notre dynamique de cabinet de conseil au service de la lutte contre le déterminisme social.
En 7 ans d’existence, nous avons reversé l’intégralité des dividendes des associés (25% des bénéfices nets), soit près de 1 million d’euros, à plus de vingt associations qui œuvrent pour l’égalité des chances, au travers du Prix Tenzing de l’égalité des chances.
« Nos collaborateurs prennent part aux choix des projets et y trouvent du sens. »
Éric Delannoy, Président et fondateur de Tenzing
Même si le dividende sociétal n’est ni le seul outil ni un outil miracle de partage de la valeur, sa généralisation couplée à une réglementation qui obligera bientôt les entreprises à se préoccuper de leur écosystème (CSRD), permettrait de faciliter le financement des transitions, et instaurerait un dialogue nouveau avec l’Etat et avec les salariés des entreprises.
« Avec la loi Pacte, l’entreprise change de perspective et a la possibilité d’assumer de prendre une part active dans la résolution des enjeux sociaux et environnementaux, au-delà de la rémunération des salariés et des actionnaires »
Eric Delannoy