Vivre son travail sous le signe de la dignité, ce qui pose la question de la nécessaire reconnaissance des tâches accomplies ou vivre son travail sous l’angle de la félicité pour citer Denis Maillard – Temps commun.
Telle est la question posée au travers de cette tribune publiée par Usbek & Rica.
J’y reviens sur notre obsession actuelle pour le travail et la vision qu’on s’en fait. Entre « quête de sens » et « expérience collaborateur » pour les cadres, et simple tâche à accomplir pour les autres…
Et si le travail, finalement, ce n’était pas juste…travailler ?
« 𝑳𝒆 𝒕𝒓𝒂𝒗𝒂𝒊𝒍, 𝒅𝒆́𝒔𝒐𝒓𝒎𝒂𝒊𝒔, 𝒕𝒐𝒖𝒕 𝒍𝒆 𝒎𝒐𝒏𝒅𝒆 𝒆𝒏 𝒑𝒂𝒓𝒍𝒆, 𝒆𝒕 𝒏𝒐𝒖𝒔 𝒔𝒐𝒎𝒎𝒆𝒔 𝒂𝒓𝒓𝒊𝒗𝒆́𝒔 𝒂̀ 𝒖𝒏 𝒎𝒐𝒎𝒆𝒏𝒕 𝒐𝒖̀ 𝒍’𝒐𝒏 𝒑𝒆𝒖𝒕 𝒔𝒆 𝒅𝒆𝒎𝒂𝒏𝒅𝒆𝒓 𝒔𝒊 𝒏𝒐𝒖𝒔 𝒏’𝒂𝒗𝒐𝒏𝒔 𝒑𝒂𝒔 𝒐𝒖𝒃𝒍𝒊𝒆́ 𝒒𝒖𝒆 𝒍𝒆 𝒕𝒓𝒂𝒗𝒂𝒊𝒍, 𝒆𝒏 𝒅𝒆́𝒇𝒊𝒏𝒊𝒕𝒊𝒗𝒆, 𝒄𝒐𝒏𝒔𝒊𝒔𝒕𝒂𝒊𝒕 𝒂̀ 𝒕𝒓𝒂𝒗𝒂𝒊𝒍𝒍𝒆𝒓 »